Il y a l'élan que l'on allume,
Le temps qui se consume ;
Il y a dans mes yeux, qui brillent,
Le vaste océan de tes pupilles ;
Il y a dans l'air, par moment,
Ce léger souffle séduisant ;
Peut-on rester débutant,
Apprivoiser, ses nerfs.
Il y a « se plaire », c'est évident,
L'intérieur et l'extravagant ;
Venant de la mer du vent,
D'un lieu reposant, de l'air ;
Et dans cet air par moment,
Ce léger souffle séduisant ;
Peut-on rester débutant,
Apprivoiser, ses nerfs.
Il y a « se taire », par moment,
Rêver d'être souffleur de verre ;
Mais comment travailler,
La manière.
Il y a des hommes si souriants,
D'autres aux allures de révolver ;
De la moitié pour maintenant,
De la traversée du désert.
Et au milieu de tout ça,
Il y a moi qui pense à toi ;
Au milieu de tout ça,
Il y a moi et je pense à toi ;
Avec dans l'air, par moment,
Ce léger souffle séduisant ;
Peut-on rester débutant,
Apprivoiser, ses nerfs